بسم الله الرحمن الرحيم
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La science occulte ou les débuts de la sorcellerie
Résumé de l’assise du 9 Mars 2018 / Jumu’a 22 Jumada II 1439 [Partie 2] :
[…]
Lorsque le disciple prend la bay’a et accède à la Lumière de son Shaykh, il se retrouve alors lié à l’intellect élevé (‘olwi), qui l’élèvera vers ce façonnage parfait et initial de tout un chacun. C’est ainsi que le disciple revient vers la Science véritable : la Science des Noms divins, qui n’est autre que la Science des Prophètes et des Messagers, (‘alayhim as-salâm), et qui est un miracle d’Allâh ﷻ. Par cette Science, l’individu parvient à aller au-delà et à transcender les règles auxquelles est soumis ce monde créé, et ce grâce à la Lumière par laquelle Il appuya Ses Prophètes, Ses Messagers et Ses Saints. Si quelqu’un parvenait à ce degré, il serait évidemment en mesure de transcender ces règles contraignant le monde créé, et alors apparaîtrait ce qui est connu chez les gens d’Allâh comme étant des prodiges (karamate). Et bien sûr, ce degré auquel serait parvenu un tel individu n’est pas le degré final, le degré le plus élevé qui soit… car la Science d’Allâh n’a ni début ni fin. Toutes ces étapes ne sont en vérité que des degrés. Et où que soit parvenu le cheminant dans sa quête, il est et demeure quoi qu’il arrive pauvre et nécessiteux vis-à-vis de la Science du Seigneur ﷻ.
Quant à tout ce qui découle de l’opposé à cela… car nous avions introduit le sujet en rapportant l’histoire des deux fils d’Adam (‘alayhi s-salâm), de Qabil tombant dans l’égarement jusqu’à en venir à assassiner son frère Habil… et nous avions dit que Qabil, après s’être exilé lui et sa famille, avait commencé à plonger et à s’immerger dans les insufflations sataniques qui le menèrent jusqu’à la science de la sorcellerie (sihr). Quant à la Science divine, ce fut notre père Chîth (‘alayhi s-salâm) qui en hérita.
Pour parler donc de ce qui s’oppose à la Science divine, à savoir la sorcellerie, car dans cette série de cours nous avançons en traitant des choses par leurs opposées… La sorcellerie est un retournement, une altération et une falsification de la Force Lumineuse apportée par la religion d’Allâh. Et sur quoi se basent les gens pour mettre en application cette falsification ? Ils se basent sur la Parole divine, dont ils détournent les sens, ainsi que sur la modification des Noms d’Allâh ﷻ… et évidemment sur le soutien de l’ennemi de l’humanité et l’ennemi d’Allâh : Iblîs et ses armées. Nous recherchons la protection d’Allâh contre eux tous.
C’est-à-dire que si tu ne connais pas la Lumière d’Allâh, si tu travailles le domaine ésotérique sur base d’autre que la Lumière d’Allâh… si tu te mets à accomplir des retraites (khalwa) et des choses de ce genre, sans avoir de permission (idhn) pour le faire… car notre Seigneur ﷻ nous dit : « dans des maisons que Allâh a permis (idhn) que l’on élève et qu’on y invoque Son Nom » [1]. Les maisons (bayt) sont multiples : bayt Allâh al-Harâm, bayt al-Maqdis est une maison d’Allâh, la mosquée est une maison d’Allâh, si tu as un endroit pur dans ta maison que tu réserves à l’évocation d’Allâh, cela devient une maison d’Allâh… mais la maison qui est la plus proche de toi-même, c’est ton cœur : « Mon ciel et ma terre ne sauraient Me contenir, contrairement au cœur de Mon serviteur qui lui le put. » Le cœur est donc bien une maison d’Allâh. Ce cœur doit donc recevoir la permission (idhn) d’être élevé et qu’y soit évoqué le Nom « Allâh », puis qu’y soit projeté la Lumière d’Allâh, que cette Lumière gagne l’intellect encéphalique et les cinq sens, pour finalement parvenir à l’intellect suprême (al-‘aql al-akbar), et il sera alors en mesure de percevoir et saisir les Sciences divines.
Les communautés d’hommes qui nous précédèrent, d’entre ceux qui dévièrent et se détournèrent de cette Voie divine… parce que cette Voie n’est pas une Voie nouvelle : il s’agit de la Voie d’Allâh ﷻ, depuis l’apparition de l’humanité ! Donc cette Voie, la Voie de la Lumière et de la guidée, était, dans les générations qui nous ont précédé, basée sur l’établissement d’un lien avec le monde du bâtin, et ce afin d’être en mesure de saisir et comprendre les Secrets de la vie et de l’univers. C’est ce que faisaient les Pharaons et les Savants des communautés antérieures, soient-ils sur la religion véritable comme dans l’égarement : leur plus grande préoccupation était d’atteindre et connaître les Secrets de la vie et de l’univers, dans un premier temps… et dans un second temps, de se doter de force, de domination, et accéder à la vie éternelle. En cela, ils se basaient sur des insufflations sataniques, grâce auxquelles ils acquéraient une force occulte et soufliya… jusqu’à tomber au plus bas des degrés qui soit : devenir un serviteur et un adorateur des démons.
C’est alors que les divinités ont commencé à se multiplier, que se sont multipliées les guerres, et que la vérité s’est mélangée au faux, au sein de ces communautés. C’est comme cela que débuta la falsification et l’altération de l’Ordre du Créateur ﷻ. Ces gens ont été introduits à ce domaine soufli par l’intermédiaire d’insufflations sataniques, puis ils s’activèrent dans l’accomplissement de retraites (khalwa) sans idhn, des retraites qui les menèrent jusqu’aux plus bas des degrés, faisant d’eux des adorateurs de Iblîs. Allâh ﷻ les submergea alors tous par le déluge, et ainsi Il purifia la terre de ces forces ténébreuses, renvoyant ces ténèbres au plus profond de la terre et des océans. D’où l’exemple qui nous est donné : « (les actions des mécréants) sont semblables à des ténèbres dans une mer profonde : des vagues la recouvrent, vagues au-dessus desquelles s’élèvent d’autres vagues, sur lesquelles il y a d’épais nuages. Ténèbres (entassées) les unes sur les autres. Quand quelqu’un étend la main, il ne la distingue presque pas. Celui qu’Allâh prive de Lumière n’a aucune Lumière. » [2]
Après le déluge, l’état de la terre fut totalement changé et modifié, afin que les gens qui furent sauvés dans l’Arche de sayidina Noûh (‘alayhi s-salâm) ne puissent plus tomber et retrouver les fondements de ces sciences anciennes. C’est-à-dire que tout fut effacé, et qu’il ne resta après le déluge plus aucune trace de ces sciences occultes. Parce que les gens qui auparavant avaient peuplé la terre s’étaient fortement investi dans le domaine du soufliy, le faisant apparaître avec une grande force, dans l’intellect encéphalique, au point que les membres furent en mesure de percevoir cette force ténébreuse au moyen des cinq sens. Cette force s’était ainsi donc matérialisée, devenant physique et palpable. C’est pourquoi notre Seigneur ﷻ envoya le déluge, afin de mettre un terme et effacer tout ce savoir soufliy, et qu’il ne demeure plus que la Lumière divine.
Ceci dit, évidemment, étant donné que Iblîs est toujours en vie, il continue de bouger et de s’activer… et il transmet cette science à ses serviteurs. Tout fut effacé par le déluge, certes, et après cela, en qui Iblîs fit-il réapparaître cela ? Il le fit réapparaître chez les gens de la Thora et de l’Evangile, au travers de la falsification des Ecritures et de la Parole divine. Quant aux gens de la Thora et de l’Evangile, et comme nous en informe le Vrai ﷻ dans Son Noble Livre : ils tronquent et altèrent la Parole divine en vue d’obtenir la force, le pouvoir et la domination. La faute ne se trouve évidemment pas dans l’Evangile tel qu’il est descendu sur sayidina ‘Isa (‘alayhi s-salâm), ni dans la Thora telle qu’elle est descendue sur sayidina Moussa (‘alayhi s-salâm), au contraire ! Ce sont là des Livres célestes, la pure Parole divine révélée. Mais ceux qui vinrent après sayidina Moussa et sayidina ‘Isa (‘alayhim as-salâm) ont commencé à falsifier la Parole rapportée, et ce au travers d’insufflations sataniques, et ils prirent cela comme base pour l’établissement d’un lien avec le monde soufliy. C’est comme cela qu’ils se sont mis à ajouter et supprimer des versets à leur guise, ce qui constituait pour eux l’équivalent d’une offrande par laquelle ils se rapprochaient d’Iblîs.
Ils savaient pertinemment qu’il s’agissait là d’un pur acte de sorcellerie, et ils avaient la certitude absolue en ce qu’ils accomplissaient. Ils n’ont pas fait cela par hasard, par ignorance, ou par erreur… non, bien au contraire, ils ont agi en parfaite connaissance de cause. Ils savaient pertinemment qu’il s’agissait ni plus ni moins que d’actes de sorcellerie (sihr), mais ils s’en défendaient en disant : « oui, mais il s’agit d’un sihr de nature noble et élevée. » Eux aussi, ils en ont établi un sanad et ont dit qu’il remontait jusqu’à Ibrahim (‘alayhi s-salâm). Parce que sayiduna Ibrahim (‘alayhi s-salâm), de par le degré de proximité, d’intimité et d’Amour qu’il avait atteint, fut capable de demeurer dans le feu durant trois jours d’affilé, et ce feu n’a été pour lui que paix et fraicheur. [3]
Les choses se ressemblaient et se sont complètement mélangées dans leurs pensées… à partir du moment où Ibrahim était entré dans le feu, et que celui-ci ne l’avait pas brûlé… ils se sont mis à voir et à considérer ce miracle Prophétique comme similaire aux actes soufliy qu’ils commettaient de leur côté. Ils ont prétendu qu’il s’agissait là d’un acte de sorcellerie, et que dès lors eux aussi seraient capables de reproduire la même chose, en rattachant leurs actes et en associant leur science du monde occulte à l’héritage Prophétique reçu de sayidina Ibrahim et Moussa (‘alayhim s-salâm)… ainsi que de as-Sâmiriy.
Et pour présenter de manière succincte qui est as-Sâmiriy, il s’agit d’un homme d’entre les fils d’Adam (‘alayhi s-salâm), et il naquit à la même époque que celle qui vit naître sayiduna Moussa (‘alayhi s-salâm). C’est-à-dire que le Seigneur ﷻ te donne et te montre toujours les choses au travers des opposés, car pour connaître la Science noble (‘olwi), il faut nécessairement que tu y opposes la Science vile (soufli) : il n’y a que de cette manière que tu seras en mesure de faire la différence entre les deux domaines. Et donc à cette époque et dans ce pays où régnait Pharaon, celui-ci fut informé, au moyen d’insufflations sataniques, de la naissance à venir d’un Prophète et Messager… et afin de s’en prémunir, il fit exécuter tous les nouveaux nés des années susceptibles de voir apparaître cet envoyé d’Allâh. Et il se trouve que parmi les enfants qui naquirent en cette période et que Allâh préserva, se trouvait sayiduna Moussa, dont la mère, Aya (‘alayha s-salâm), ne laissait paraître aucun signe extérieur de grossesse. Son état demeura caché jusqu’à ce qu’elle le mit au monde, pur et purifié, le plaça dans le Nîl, de sorte que Moussa (‘alayhi s-salâm) parvint jusqu’au palais de Pharaon où il fut recueilli et élevé par Pharaon lui-même.
Opposé à cela, nous avons l’exemple de celui qui tiendra le rôle de tête de la Science vile (soufli) : à la même époque, vivait une femme, une femme particulièrement forte. Cette femme très corpulente tomba enceinte, malgré le fait que son âge avancé laissait à penser qu’elle ne pourrait plus enfanter… Du fait de son âge et de sa corpulence, sa grossesse ne fut pas remarquée, et elle mit au monde l’enfant, qui avait la particularité d’être anormalement grand et développé. C’est-à-dire qu’à peine né, il paraissait déjà pour un petit garçon d’un certain âge, de sorte que lorsque les gens le voyaient, ils pensaient qu’il s’agissait d’un garçon de trois ans ou plus… et non pas d’un enfant né dans l’année où tous les nouveaux nés mâles devaient être exécutés. Ce garçon fut lui aussi éduqué au palais de Pharaon, et plus particulièrement au milieu des sorciers qui y exerçaient. Il développa vite de grandes aptitudes pour cette science de la sorcellerie… jusqu’à devenir évidemment un ennemi et un opposant à sayidina Moussa (‘alayhi s-salâm). Il s’agit-là de la Sunna d’Allâh établie sur terre. Ce Sâmiriy avait gagné et s’était fait une grande réputation parmi les siens, si bien que les gens finirent par le prendre comme sanad. C’est ainsi que les sorciers des époques suivantes renvoyèrent le sanad de leur science occulte et soufliy à, comme nous l’avions dit, sayidina Ibrahim et Moussa (‘alayhima s-salâm)… mais aussi à as-Sâmiriy, le Kâfir, celui qu’ils appellent aujourd’hui encore : as-Sâmiriy at-Tayib (Sâmiriy le bon). Car c’est de cette manière qu’ils le décrivent : quelqu’un de bon, doux, avenant… C’est ainsi donc que les générations qui suivirent les Prophètes rejetèrent la Thora et l’Evangile, qu’ils échangèrent contre une écriture modifiée, qu’ils attribuèrent aux Prophètes précédemment nommés. Leurs croyances changèrent, si bien que les chrétiens finirent par adopter la croyance en la divinité du Messie, affirmant qu’il s’agissait du fils du Créateur ﷻ. Et bien sûr, comme nous l’avons expliqué, il ne s’agit là que d’insufflations faites par Iblîs à ses serviteurs dans les temps passés, des insufflations qui se sont par la suite transmises et qui perdurent jusqu’à nos jours.
Parmi ces écritures qu’ils écrivirent de leurs propres mains, ces écritures inspirées directement du monde occulte et soufliy, et qu’ils attribuèrent au Créateur ﷻ … certaines d’entre elles sont connues, à l’instar par exemple du Talmud, qui contient le fiqh et la loi judaïque. Ou encore Safar at-Takwîn, appelé aussi Safal al-Khalq (le voyage de la création), qui contient les secrets de la création et son histoire. Ou encore al-‘Araba, qui traite du monde des visions et des songes, qui donne une description des anges, de leurs particularités, de leurs rôles, etc. Il y a aussi at-Tâghoût, qui est un livre contenant les clefs du Secret Suprême, de ses talâsim, de ses calculs et du mode d’emploi de sa sorcellerie… A cause de ces livres, et à cause de ce qui s’y trouve en terme d’inspirations sataniques, un problème est apparu pour celui qui travaille et œuvre par la Permission d’Allâh et de Ses Messagers. Parce que à cause de tout cela, le Vrai s’est mélangé au faux… si bien que certains en sont même venus jusqu’à associer la Lumière aux ténèbres, et les ténèbres à la Lumière… ou jusqu’au point où les gens ne savent plus distinguer les ténèbres de la Lumière.
Comprenons donc bien que le chemin de la Vérité débute par la projection de la Lumière dans le cœur. Puis, par une permission divine (idhn), tu en tires les six piliers de la foi (al-Imân). C’est-à-dire que par cette Lumière, tu apprends et tu découvres le monde du ghayb, et tu réalises ces six piliers de la foi. Puis, il s’agira d’unifier cette Lumière à l’intellect encéphalique (‘aql ad-dimagh), de sorte que tu comprennes et saisisse le monde qui t’entoure, d’une compréhension découlant de l’Islâm et de l’Imân. Puis, tu évolues et tu t’élèves vers l’intellect suprême (al-‘aql al-akbar), et tu apprends les Beaux Noms d’Allâh. Tu n’apprends rien qui sorte de ce domaine-là ! Tout ce que tu apprends est renvoyé à la compréhension du Nom « Allâh », de Ses Attributs et de Ses Actes, le tout étant évidemment toujours renvoyé au Coran et à la Sunna.
Alhamdulillah, nul ne peut falsifier le Livre d’Allâh ! De même pour la Sunna de sayidina al-Mustafa ﷺ. Et si tu fais partie des gens qui cheminent spirituellement et empruntent cette Voie, alors tu seras en mesure d’unifier l’ensemble de ton corps à la Lumière du cœur, avec la Lumière de l’intellect encéphalique, et avec la Lumière de l’intellect de al-Insân al-Akbar… et ainsi, toute ton évolution spirituelle sera en parfaite conformité avec le Livre d’Allâh et la Sunna du Prophète ﷺ. Tu comprendras véritablement les choses concernant ta vie, et tout ton être deviendra un réceptacle pour cette nouvelle (naba’). Et ce naba’, c’est la compréhension du Malakoûte, ou de ce qui te parvient de la Rissâla du Prophète ﷺ.
C’est-à-dire que le Coran est la Rissâla. Mais toi, par la Lumière du naba’, tu comprends et tu perçois un nouveau naba’. Pas nouveau dans le sens où le Prophète ne l’aurait pas rapporté ! Non ! Nouveau, par rapport à toi-même, nouveau parce qu’il s’agit de quelque chose qui ne t’était pas dévoilé. Car quand l’individu accède à une compréhension dont il n’avait auparavant aucune connaissance, il s’agit, pour lui-même et par rapport à lui-même, de quelque chose de nouveau dans sa vie. C’est ainsi que l’on dit qu’un tel individu a perçu un naba’, et que ce naba’ s’est établi dans le réceptacle que constitue son corps. C’est cela que l’on désigne par le moustaqarr de la Noubouwa.
Que veut donc dire moustaqarr de la Noubouwa ?
C’est le travail sur ce corps tout entier, jusqu’à ce qu’il devienne le Livre d’Allâh, le Kitâb al-Maknoûn.
Et comment deviendrait-il le Kitâb al-Maknoûn ?
Nous nous sommes basés ce soir sur une division en trois degrés différents, trois degrés constituant trois galaxies ou trois domaines : le cœur, le cerveau et al-Insân al-Kâmil. Nous retrouvons ainsi le point du ba (ب), le point du noûn (ن) et le point du ya (ي), nous renvoyant au cheminement par le Point dans ses trois dimensions différentes, et tu évolues dès lors par « bismillâhi ar-rahmâni ar-rahîm ».
Opposé à cela, se présente le triangle soufli, qui quant à lui est déterminé par les insufflations sataniques, par as-Sâmiriy qui n’est autre que le Masîh ad-Dajjâl, ainsi que par les membres de son corps qui constituent ses armées. Et la finalité de ce triangle soufli, c’est de mener l’individu au plus bas des degrés qui soient, celui qui veut qu’au lieu d’être un serviteur de son Seigneur, il devienne un serviteur de l’ennemi de son Seigneur.
Allâhumma sauve-nous de cela, place-nous perpétuellement et éternellement dans le lien établi avec Allâh et Son Messager, et place-nous dans le flux de sa Lumière dans ce monde et dans l’autre, yâ Dhul-Jalâli wal-Ikrâm.
[1] Sourate al-Noûr, verset 36.
[2] Sourate al-Noûr, verset 40.
[3] « Nous dîmes : « Ô feu, sois paix et fraîcheur pour Ibrahim ! » » [sourate al-Ambiya’, verset 69]